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en marche - Page 7

  • DANS LE CREUX DE L’OREILLE DE VANVES

    UN GENERAL POUR MACRON AUX LEGISLATIVES : BERTRAND SOUBELET

    Le candidat d’En Marche dans la 10éme circonscripton des Hauts de seine(Issy/Vanves) serait le Général Bertrand Soubelet, ancien n°3 de la Gendarmerie. Il avait été muté à la tête de la Gendarmerie d’Outre-Mer en 2014, suite à des critiques publiques au sujet de la politique sécuritaire et judiciaire instaurée par le gouvernement qu'il jugeait « incohérente » et « inadaptée », et  dont il a perdu l’affectation en avril dernier, un mois après la parution chez Plon de son livre « Tout ce qu’il ne faut pas dire »,

    Tout est parti de l'audition devant les députés du 18 décembre 2013 au Palais Bourbon dans le cadre de la mission d'information relative à la lutte contre l'insécurité sur tout le territoire. « On a demandé mon avis : j'ai donc tenu des propos sans langue de bois. Trois semaines après, une dépêche AFP titrait «un général critique la politique pénale de notre pays». J'avais mis le feu aux poudres. Or, je n'ai pas critiqué la politique pénale. J'ai simplement fait un état des lieux. Dire la vérité est dans mon ADN » expliquait il. Il avait tout simplement fait état « de l 'inquiétude de la gendarmerie face aux 6 000 emplois supprimés, à une justice sans moyen, une procédure trop complexe. Des délinquants laissés dans la nature malgré l'engagement des gendarmes et des magistrats. La sécurité dans notre pays n'est pas assurée comme elle devrait » auquel  la général Denis Favier, alors  patron des 125 000 gendarmes d'active et réservistes qui avait répliqué en estimant que «vendre une polémique, instrumentaliser la gendarmerie et surtout ceux qui la servent, c'est tout ce qu'il ne faut pas faire ». Même Jean Christophe Lagarde, alors Secrétaire Général de l’UDI avait pris sa défense en dénonçant « une véritable rétrogradation » et « une mise au placard » du général. C’est à lui qu’André Santini l’avait invité à écrire lorsqu’il avait fait état de sa  volonté d’être candidat aux législatives sous les couleurs de l’UDI ou du Nouveau Centre. Du coup, on le retrouverait candidat d’en Marche si les informations sont confirmés face à André Santini si ce dernier se représente bien sûr.  

    AGIR POUR LE PLATEAU ET LA METROPOLE DU GRAND PARIS

    La candidate présenté par l’association vanvéenne « Agir pour le Plateau », Hortense Mourier, au Conseil du Développement (CODEV)  de la MGP (Métropole du Grand Paris) n’a pas été retenue. Ses 24 membres citoyens, ont été  tirés au sort parmi 600 grandparisiens de l’aire métropolitaine qui se sont portés candidat après un appel à candidatures lancé le 9 novembre dernier,  relayé par les maires des 131 communes qui a pris fin, le 15 janvier. Ainsi chacun des 12  territoires comme GPSO  est représenté par un homme et une femme qui rejoindront les 80 personnalités qualifiées, représentant les acteurs économiques, sociaux, environnementaux, culturels et sportifs. Ces personnalités sont en cours de désignation par Patrick Ollier et Philippe Laurent représentant permanent du Bureau de la Métropole auprès du CODEV qui sera installé avant la fin du mois de février. « Je me réjouis de voir que les choses avancent à la MGP et que le CODEV sera prochainement opérationnel. Nous avons eu la volonté d’associer 24 habitants à cette instance car il s’agit bien d’élaborer une métropole qui soit au service de ses habitants. Rien de mieux pour cela que d’en associer un certain nombre aux réflexions sur le projet métropolitain » a affirmé Patrick Ollier, président de la MGP. Rappelons que  le Conseil de développement est un organe consultatif placé auprès du Conseil métropolitain, qui peut et doit dans certains cas, être saisi pour avis par les élus. Il peut également s’autosaisir  de tous les sujets qui lui paraissent importants pour construire la métropole résiliente du XXIème siècle.

  • LA PHOTO DU JOUR A VANVES : PREMIER TRACTAGE D’EN MARCHE

    Les militants d’En Marche ont tracté pour la première fois à Vanves,  hier en fin d’après-midi au Métro, pendant prés de deux heures. L’accueil était plutôt bon « Voilà un bon candidat ! ». Même si la plupart des vanvéens ne s’attardaient pas sous la pluie, et quelquefois marquaient un temps d’arrêt, pour prendre le tract consacré aux propositions d’Emmanuel Macron siur le travail. Par contre les fillonistes qui devraient tracter ce matin à Vanves risquent d’avoir des réactions beaucoup plus hostiles du genre « Fillon, on n’en veut plus ! » entendu hier soir au métro

  • EN MARCHE A VANVES SE MET EN ORDRE DE BATAILLE POUR LA CAMPAGNE PRESIDENTIELLE

    Le Comité d’En Marche de Vanves a été créé voilà 2 ou 3 mois par Julien Segura qui est finalement un déçu du PS. « J’ai été très militant dans le sud de la France du côté de Perpignan,  j’ai voté Manuel Valls à la Primaire de 2011 parce qu’il représentait quelque chose de nouveau  qui allait pouvoir extirper la gauche de sa torpeur. Mais le score a été décevant et son évolution n’a pas été terrible.   J’ai pris du recul pendant un certain temps. Jusqu’à ce que E.Macron lance En Marche car j’apprécie en lui ce souffle nouveau, sa sincérité, le bon sens  et en politique le parler-vrai attire. On sent une bienveillance, un optimisme autour de lui qui tranche avec les autres qui prônent l’austérité, la rigueur… Là on pense la France, l’Europe, le monde  différemment. Aller au-delà des partis politiques, ce n’est pas les éradiquer mais essayer justement de rassembler le plus possible de français » explique t-il      

    Il a rassemblé 7 à 8 Vanvéens lors de sa première réunion le 7 Décembre. 25 vanvéens sont maintenant inscrits, via la plateforme internet d’En Marche par laquelle il faut passer pour s’inscrire . Sachant que, pour l’instant, tout adhérent peut choisir d’avoir une double appartenance, adhérent à En Marche et militant politique dans une autre formation, même si cela devrait évoluer puisqu’En Marche essaie de se structurer davantage. «  Il s’agit de progressistes, qu’ils viennent du PS, de LR, de l’UDI et surtout des citoyens qui, pour la moitié,  ne se sont jamais engagés en politique, de toute âge, des jeunes aux retraités » indique t-il en donnant les raisons de cet engagement : « 2017 est une année, un moment démocratique de notre pays  très important, avec cette élection très charnière dans le monde actuel que nous vivons sur le plan international. Et les Français s’en rendent compte. C’est pour cela qu’en France, beaucoup ne se résignent pas à avoir une Marine Le Pen, un François Fillon au second tour. Cette démarche motive beaucoup de personnes par rapport au populisme, à une droite très conservatrice et à une gauche qui se remplie sur elle-même. En Marche permet à tous ces gens qui veulent discuter et veulent construire quelque chose de manière vraiment démocratique de se rassembler » .

    Pour l’instant que ce soit à Vanves plus récemment, mais aussi dans les Hauts de Seine et ailleurs, ces comités locaux se réunissent pour des ateliers thématiques  -   sur l’éducation, la santé, le travail et l’Europe à Vanves par exemple -  avec des fiches bien faîtes, à partir desquelles ses adhérents travaillent : « Elles  comportent un diagnostic, avec des propositions d’Emmanuel Macron, des questions auxquelles nous répondons et dont on fait remonter le résultat au National. On part de la base pour aller vers le plus haut,  ce qui est extrémement rare. Elles permettent de  tester les propositions et enrichir le futur plan de transformation» explique t-il.

    Maintenant, il s’agit de passer à la vitesse supérieure : « le but est aujourd’hui de se structurer pour la rentrée en campagne à partir de Février  qui va être dure. Et mettre en place une organisation pour mener des actions locales au demeurant classique » indique t-il. Une réunion du Comité de Vanves est prévue ses prochains jours, sûrement au Gaulois : « Nous allons organiser un bureau pour répartir les tâches et les actions précises (adhésion, communication, logistique). Tout se met en place. En Marche ne doit pas être un club de philosophie, mais c’est bien une association politique, avec un but : Faire gagner un candidat, E.Macron, et bien le faire ! ».

    Le comité local de Vanves devrait participer à des actions qui ont déjà démarrées avec la « marche des quartiers » dans d’autres villes. Elle consiste à être présent et à échanger autour des marchés, des centres commerciaux, des sorties de métro depuis trois semaines. La « marche des entreprises » devrait suivre  pour aller au contact des TPE, PME, des auto-entrepreneurs, ceux qui ne sont pas forcément bien représentés, et ont beaucoup de choses à dire… Toutes ces actions commencent à être  déployés par les Comités locaux qui sont animés par des animateurs – 60 dans les Hauts de Seine.